Le réveil a sonné chers patriotes

 

L’occasion m’est  propice de vous exprimer tout d’abord, et en même temps, mes vœux les plus sincères, ma respectueuse gratitude pour votre fidélité : aussi vous dire que l’année 2012 ne peut être l’année  sommeilleuse mais plutôt celle de l’état de veille.

Je tiens plus particulièrement à vous remercier de vos encouragements qui me touchent profondément. L’année 2011 s’est achevée. Elle fut ennuyeuse, bluffeuse au point de savoir « Combien le mensonge est nécessaire et bienfaisant aux hommes étonnamment étonnants ».Le monde a changé, le peuple avec .Rien n’est plus comme avant. Le peuple Comorien ne peut rester hors du temps. Je souhaite que l’année 2012, le patriote Comorien ne s’abaissera pas, ne se soumettra pas et ne cèdera pas parce qu’il rentrera en résistance.

Chers patriotes, c’est avec vous que nous pouvions sans relâche po ursuivre le chemin tracé pour rappeler à ceux qui se livrent à la rêverie qu’il ne peut y avoir de progrès que là où il y a conscience. Cette conscience ne peut être hypnotique.

Le  temps est venu de dire merde aux éloges à quatre sous des imbéciles dont ses odeurs embaument les boniments. Je veux dire les courtisans et les parvenus de tout genre. Monsieur le président, vous avez sur vos épaules le destin du pays cinq années durant : je vous dis tout simplement ceci en tant que patriote amoureux de son pays. Méfiez vous de celui qui vous dit « je marche pour vous et vous verrez pour moi ».

Les élus sont là par la volonté du peuple. Or la barbarie de l’argent offusque plus d’un .Chers patriotes, rien ne peut s’acquérir à genoux. Tout s’arrache par la lutte. Un peuple ne peut qu’être débout pour arracher ses droits. L’année 2012 doit accomplir des bouleversements pour avancer. Osons le dire ! Osons le redire ! Mais surtout osons réagir. Car si on ne réagit pas, nous mourûmes sous le pied du lit. A ceux qui auront un peu plus de chance fuiront sur des hypothèses. N’est-il pas déjà le cas ?

J’ai essayé en vain de faire la différence entre le distinguable et le distingué. Et je mes suis rendu compte que dans notre pays hélas ! Le savoir entre possible et différent fut depuis la nuit des temps le vivre en commun. C’est pourquoi  nous eûmes pris la décision mon neveu et moi-même à ne plus passer outre tout ce qui est garnison en créant en plus du blog et du journal, le site http://www.laithbenali.com .

A travers ces outils de communication, nous attendons à cœur ouvert. Vos remarques, vos suggestions, aussi vos critiques et contributions bien sûr. Vous pouvez vous en servir dans sur tout ce qui vous semble aspirant. Il va de soi que le peuple Comorien et ses angoisses en demeureront notre muraille crénelée.

Dans se site, champ de bataille des idées, vous aurez à examiner grosso modo l’urgence des combats que nous menons en assayant de comprendre le probable pour avoir la certitude. Le monde que nous vivons exige le parler net, affirmant le contenu et le contenant. C’est fini le ni clair ni précis dans un monde en internet a signé la mort du brouillé et du flou. J’espère que chacun trouvera son goût qui apporte à ses réflexions tous les sujets auxquels saura réagir dans un esprit éclairé.

Au-delà de l’information brûlante et classique, le responsable de la production, vous assure en toute assurance la couverture sur tout ce qui se passe dans le monde notamment avoisinant. Nous espérons qu’ensemble, encore plus nombreux. Nous réussirons à convaincre le pouvoir et leur dire que malgré le loyalisme volontairement consenti du peuple. Certains hauts dignitaires du système qui sont des malfaiteurs légendaires continuent à sucer le pays comme ils s’embrassent. Le monde extérieur nous rit, nous exclut à cause d’eux. En tout cas dans tous les cas les bat-flanc des cieux les attendent tôt ou tard.

Aucun pouvoir aussi cruel soit il ne peut laisser son peuple à croupetons pour avoir du plomb dans l’aile. Autant que je sache notre pays  n’a été en guerre, même si, seulement si… avec 36 ans de vie de paille c’est comme si. Le peuple élit ses dirigeants parce que l’espoir est perdu. Le président de la république forme un gouvernement pour gouverner et non pour se donner « des ailes d’or ». Car le peuple en a assez de se faire passer par le dos dans sa propre vie.  

 

 

Laissi BEN ALI

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